Vendredi dernier, j’ai participé à un meeting à la ville, j’ai pu suivre l’intervention d’un politologue américain exprimer son avis sur le rayonnement de la France sur le plan international. J’ai été consterné de remarquer que nous sommes désormais considérés comme étant une préoccupation pour l’Europe. Pourtant, le pays profite encore d’avantages indubitables : ses industries de pointe, le bénéfice de son immigration, sa force de travail hautement renommée. Mais à l’international, elle est observé, sur le plan international, comme étant maladif. On pourrait dire que le problème a démarré vers l’achèvement des Trente Glorieuses, mais force est de constater que le pays file aussi sur la mauvaise voie lorsqu’on s’attarde sur les chiffres d’un peu plus près. La gauche avait engendré certains espoirs lors des élections. Mais il est évident que cela fait longtemps qu’ils se sont évaporés. Mais si nous contemplons avec nostalgie les actions de Hollande et sa bande, vous ne devinez pas la vision qu’on porte à l’international sur ces mesures. En cause ? La mesure majeure de Hollande : la taxe à 75% pour les revenus les plus élevés. Même si cette charge a pour finir été abolie, elle reste à l’étranger comme une tache d’huile. Voilà le symbole à l’international de la politique de notre bon gouvernement. J’ai parlé de la réunion avec des personnes venant d’Europe de l’Est, et je me suis aperçu que tous associaient le gouvernement actuel à cette taxe saisissante ! Elle a été un message pernicieux pour les investisseurs potentiels. Si, électoralement, c’était un avantage de François Hollande pour être élu, elle a surtout contribué à rallonger le marasme économique pour plusieurs années de plus. Dans une boutade, l’économiste a énoncé que même les communistes n’auraient pas osé soumettre une telle mesure !. Je vous jure que c’est un fascinant moment à vivre. Je n’oublierai pas de sitôt Ce colloque m’a laissé un drôle de goût en bouche. Le gouvernement actuel peut bien tout faire pour négocier nos produits à l’étranger (Rafale, Airbus et compagnie), la vérité est qu’il a tué notre économie pour de simples élections.