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« Nous avons fait le choix d’une double localisation« , a déclaré la maire de Paris Anne Hidalgo, en détaillant mardi son projet dont l’annonce avait fait grand bruit fin mai.
Le site parisien, installé « dans une ancienne friche SNCF » du nord de la capitale, ouvrira « autour de la mi-octobre » et sera réservé aux hommes seuls qui pourront y rester « de cinq à dix jours« . Un second, à Ivry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne, en proche banlieue sud, accueillera dans une ancienne usine de traitement des eaux « les publics vulnérables, les femmes, les enfants, qui nécessitent un accompagnement beaucoup plus important« .
Le camp parisien aura une capacité de 400 lits à l’ouverture, portée à « 600 d’ici la fin de l’année« , et celui d’Ivry proposera 350 places. Mais « si d’autres sites doivent être créés, nous le ferons« , a-t-elle assuré.
Le dispositif veut offrir un « accueil digne » aux migrants qui s’entassent dans des campements de fortune, a insisté Bruno Morel, le directeur général d’Emmaüs solidarités qui pilotera le centre.
Depuis un an, l’État a proposé des mises à l’abri à 15.000 personnes environ, au cours de 28 opérations menées dans la capitale. Mais les bidonvilles se reconstituent. Mardi matin encore, un campement de plusieurs centaines de personnes a été partiellement démantelé près du métro Jaurès.
D’où la nécessité, selon Anne Hidalgo, de « changer de braquet et de méthode » face à la « saturation » des dispositifs existants, avec ce « centre d’accueil » où les migrants pourront « se poser, bénéficier d’un bilan médical, d’une aide psychologique » et « d’un conseil sur leur situation et ce à quoi ils peuvent prétendre« .
En clair: vers quel type d’hébergement ils peuvent être orientés. Centre pour demandeurs d’asile (Cada), centre d’accueil ou d’orientation (CAO)… « Ce centre complètera les 74 sites franciliens que l’État a déjà mis à disposition » et « les 161 CAO » où « plus de 5.000 personnes ont été orientées« , ont rappelé les ministres de l’Intérieur Bernard Cazeneuve et du Logement Emmanuelle Cosse dans un communiqué.
Et pour les migrants non éligibles à l’asile’ « Bien entendu ce ne sera pas un lieu de contrôle policier« , a assuré Bruno Morel. Mais pour les orienter, les personnes « seront invitées à un point sur leur situation administrative qui sera réalisé en dehors du centre. Elles iront ou n’iront pas« , selon la préfète de Paris, Sophie Brocas.
Ce centre représente aussi un « défi budgétaire » puisque l’investissement initial s’élève à 6,5 millions d’euros, pris en charge à 80% par la ville de Paris.
– ‘Réversible’ –
L’État assurera les coûts d’hébergement, et « au moins 15 millions d’euros en année pleine« , a expliqué Emmanuelle Cosse, évoquant « un maillon supplémentaire de la chaîne que nous construisons depuis plusieurs mois« . L’Office français d’immigration et d’intégration (Ofii) apportera « jusqu’à 500.000 euros par an« , selon son directeur Didier Leschi.
Selon la ministre du Logement, dans cette crise « aucun territoire ne peut s’en sortir seul, et la clé du succès repose sur la solidarité nationale » et « l’ouverture de places dans toute la France« .
Du côté d’Emmaüs, qui officialisait sa participation au centre de Paris mais déplorait l’incendie d’un de ses futurs centres d’accueil pour migrants à Forges-les-Bains (Essonne), on avertit aussi qu' »il faut de la fluidité pour que ce centre fonctionne« .
Au niveau pratique, les sites retenus sont temporaires, destinés à d’autres projets d’ici deux à quatre ans, a prévenu Anne Hidalgo, et « il faudra les libérer« .
« Il ne s’agit pas d’installer des lits de camp en ligne dans un gymnase« , a dit l’architecte Julien Beller, en précisant que « le site dans 18 mois pourra être démonté et remonté« . Le projet sera « réversible et attentif à l’environnement et au paysage« : chambres en bois, sanitaires… L’accueil sera installé dans une « structure gonflable« , et les bureaux « dans des containers maritimes transformés« .
Plus de 2,2 millions de personnes, soit près de 60% des inscrits – un record – ont participé à ce scrutin où se présentaient des nouveaux candidats partisans de l’indépendance ou de l’autonomie du petit territoire du sud-est de la Chine.
Les élections au Conseil législatif (LegCo) surviennent au moment où de nombreux Hongkongais ont le sentiment que Pékin veut renforcer son emprise sur la ville semi-autonome.
Le dépouillement a confirmé que cinq candidats demandant la rupture avec Pékin avaient obtenu un siège au LegCo, une victoire qui adresse selon les analystes un signal « fort » à la Chine, laquelle n’a eu de cesse de dénoncer les partisans du divorce.
Parmi ces jeunes élus, Nathan Law, 23 ans, qui avait été à l’automne 2014 une des figures de proue du « Mouvement des Parapluies« , ces manifestations massives qui avaient paralysé des quartiers entiers de Hong Kong.
Son mouvement, Demosisto, demande un référendum sur l’indépendance, insistant sur les droits des Hongkongais à choisir leur avenir.
« Les Hongkongais veulent vraiment le changement« , a-t-il déclaré. « Les jeunes ont un sentiment d’urgence en ce qui concerne leur avenir« .
– ‘Combattre le Parti communiste’ –
Malgré la défiance suscitée par les partisans de la rupture dans le camp démocrate traditionnel, Nathan Law a plaidé lundi pour l’union des forces d’opposition.
« Nous devons être unis pour combattre le Parti communiste » chinois, a-t-il dit à l’AFP.
Beaucoup de Hongkongais craignent que les libertés dont dispose Hong Kong, en vertu de l’accord qui avait permis la rétrocession à la Chine en 1997, ne soient en train de s’éroder. L’affaire des libraires hongkongais disparus alors qu’ils publiaient des titres salaces sur la classe politique chinoise, puis réapparus en Chine cet hiver, en est une illustration.
Malgré plus de deux mois de blocage des rues, le « Mouvement des Parapluies » avait échoué à obtenir la moindre concession de la Chine en matière de réformes politiques.
Sur les cendres de cette révolte était né le mouvement dit « localiste » qui cherche à prendre ses distances avec la Chine. Et est apparue une nouvelle génération demandant l’indépendance pure et simple, une notion jusqu’alors taboue, tandis que d’autres militent pour l’autodétermination du territoire.
Les autorités hongkongaises avaient disqualifié des candidats ouvertement indépendantistes, affirmant que leur cause était illégale. Pour pouvoir concourir, certains ont savamment évité d’utiliser ce terme.
Parmi eux, Yau Wai-Ching, candidate du nouveau mouvement Youngspiration, qui a été élue, en défendant le droit de Hong Kong à « parler de sa souveraineté« .
– Resserrer l’étau’ –
Autre candidat de ce parti, Baggio Leung, 30 ans, dont le discours était truffé d’appels à l’indépendance, entre aussi au LegCo.
Les électeurs ont voulu envoyer « un message fort » à Pékin, a jugé l’analyste politique Willy Lam.
« Pekin sera très mécontent de ce résultat et il est très possible qu’il s’en serve comme prétexte pour resserrer encore plus durement l’étau sur Hong Kong« , a-t-il dit à l’AFP.
Le commentateur politique Joseph Cheng s’attend aussi à ce que la Chine adopte une position « très dure« .
Les autorités chinoises comme hongkongaises ont martelé avec constance que l’indépendance était anticonstitutionnelle.
Certains avaient pu craindre qu’une percée des « localistes » dans les urnes ne renforce paradoxalement l’emprise de Pékin sur le LegCo, en affaiblissant le camp des démocrates traditionnels.
Mais après dépouillement de la quasi totalité des bulletins de vote, le camp démocrate –y compris les élus indépendantistes– est assuré de conserver sa minorité de blocage au LegCo.
L’Assemblée penche toujours toutefois du côté de Pékin aux termes d’un système électoral alambiqué, qui empêche quasiment à coup sûr le camp démocrate d’obtenir la majorité.
Trente des 70 sièges sont réservés à des groupes socio-professionnels acquis à la Chine continentale.
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L’ancien ministre arrive derrière Alain Juppé (56%) à la deuxième place du classement des personnalités politiques perçues comme susceptible de faire un « bon » président de la République.
Selon ce sondage, Emmanuel Macron serait le candidat que les Français préféreraient pour la gauche avec 20% de citations, devant Manuel Valls (15%), Jean-Luc Mélenchon (12%) et François Hollande (6%).
51% des personnes interrogées disent avoir « une bonne opinion » du ministre démissionnaire et 45% souhaitent qu’il se présente à l’élection présidentielle. Sa démission lui a rapporté 4 points de popularité par rapport au mois de juillet et sa cote de popularité s’élève dorénavant à 58%.
Emmanuel Macron, qui a quitté le gouvernement pour se consacrer à plein temps à son mouvement politique, En marche!, apparaît « dynamique » aux yeux de 73% des personnes interrogées, « courageux » (62%), compétent » (59%), il est perçu comme « incarnant le renouveau » pour 58% et « sachant où il va » pour 58%.
Ancien ministre de l’Economie et ancien banquier, il est jugé par 66% des Français comme étant « trop proche de la finance » et 68% pensent qu’il n’est pas « proche des gens« .
Enfin 74% pensent qu’il a eu raison de démissionner et parmi les sympathisants de gauche 65% approuvent sa décision.
Sondage réalisé par internet les 1er et 2 septembre auprès d’un échantillon de 1024 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
« Le monde entier connaît qui est le président de la République: c’est moi, Jean Ping« , a lancé l’opposant, bravant implicitement le président sortant qui avait revendiqué jeudi sa légitimité face à une opposition qu’il jugeait destructrice et antidémocratique.
« En tant que président élu, je suis naturellement très préoccupé par la situation de notre pays qui évolue vers un chaos généralisé. Aussi j’en appelle à la responsabilité des uns et des autres, afin que le pays retrouve le chemin de l’apaisement« , a dit M. Ping lors d’une conférence de presse à son domicile de Libreville vendredi, lors de sa première déclaration depuis la proclamation de la victoire du président sortant.
« Je sais, a-t-il ajouté, que l’apaisement ne peut survenir que si la vérité des urnes (…) est rétablie et respectée sur la base du comptage des voix, bureau de vote par bureau de vote. »
Il a rappelé qu’il s’agissait d’une exigence formulée par « le Conseil de sécurité de l’ONU, l’Union européenne, l’Union africaine, la France et les Etats-Unis« .
Le pouvoir gabonais refuse ce recomptage, invoquant la loi électorale du pays qui ne prévoit pas cette procédure.
Assis en bout de table, Jean Ping s’exprimait entouré de leaders de l’opposition relâchés peu de temps avant.
Une vingtaine d’entre eux étaient retenus par les forces de l’ordre à son QG de campagne depuis jeudi matin. Le bâtiment avait alors été pris d’assaut. A l’intérieur de l’immeuble, l’AFP a pu constater des impacts de balles et des traces de sang.
Après plus de 36 heures et une intervention de la France, les autorités gabonaises ont autorisé ces opposants à repartir vendredi soir.
Plus tôt vendredi, les « 27 » avaient lancé, par l’entremise de leur avocat en France, Me Eric Moutet, un appel à la communauté internationale dénonçant « leurs conditions de séquestration » et « le hold-up électoral » commis par le régime.
« Ils sont sortis, je pense que les pressions ont fini par payer« , s’est réjoui Me Moutet à leur libération, espérant que « les centaines d’autres qui ont été arrêtés » le seraient bientôt.
L’un des opposants séquestrés, Paul-Marie Gondjout, avait annoncé qu’ils allaient « saisir la Cour constitutionnelle et demander à la Cenap (la commission électorale, ndlr) de recompter les voix« .
Dans tout le pays, la tension était extrême: deux hommes ont été tués par balle dans le quartier de Nzeng Ayong dans la nuit de vendredi, lors d’affrontements entre manifestants et forces de l’ordre, selon deux journalistes de l’AFP.
« Ils ont trouvé mon fils devant la porte, sur la route. Une voiture noire est arrivée. Ils ont baissé la vitre, ils étaient deux, ils ont tiré deux coups« , a déclaré la mère de l’un d’entre eux à l’AFPTV.
Ces deux décès portent à cinq le nombre de victimes recensées depuis le début des troubles mercredi après-midi, juste après l’annonce de la réélection contestée d’Ali Bongo.
Les affrontements ont fait trois blessés parmi les forces de l’ordre et « entre trois et cinq morts » parmi les manifestants, a reconnu vendredi soir le porte-parole du gouvernement gabonais, Alain-Claude Bilie-By-Nze, de passage à Paris. Entre 800 et 1.100 personnes ont été interpellées dans l’ensemble du pays.
La situation est aussi tendue dans les quartiers périphériques qui s’étendent le long de l’unique route nationale reliant Libreville au reste du pays.
« On a entendu des coups de feu toute la nuit« , a détaillé à l’AFP Nicolas, un menuisier de la périphérie de la capitale.
La pénurie de pain et de produits frais menace, les transports étant paralysés. Une situation aggravée par les pillages de commerces.
Plusieurs villes de province comme Oyem, Port-Gentil ou Bitam, ont elles aussi connu des troubles, notamment dans le nord, proche du Cameroun, où la situation est « particulièrement tendue« , selon une source sécuritaire.
La Rencontre africaine pour la défense des droits de l’Homme (Raddho), une ONG panafricaine basée à Dakar, a déploré vendredi une « inaction africaine » et appelé les camps adverses à « l’arrêt immédiat de l’escalade de la violence« .
Routes, voies ferrées, ports, pipelines… De l’Asie à l’Amérique du Sud, de l’Afrique à l’Europe, le régime de Pékin investit dans de gigantesques chantiers. Tour du monde de cette nouvelle ambition géopolitique.
Un pas de plus vers 2017. Emmanuel Macron a démissionné mardi du ministère de l’Economie pour se consacrer entièrement à son mouvement citoyen « En marche! ». Comprendre: préparer une éventuelle candidature à l’élection présidentielle. Reste à savoir avec qui.
Car il y a un paradoxe Macron. Au sommet dans les sondages – 36% des Français souhaitent qu’ils se présentent à la magistrature suprême selon une enquête Odoxa -, l’ancien conseiller de François Hollande revendique peu de soutiens politiques.
Jamais élu, Emmanuel Macron n’a aucun encrage local. Il n’est pas encarté au Parti socialiste, où il n’a pas bâti un réseau de soutiens. Idem au Parlement, où les proches de l’ancien ministre ne sont pas légion. A l’Assemblée nationale, les députés Richard Ferrand, Arnaud Leroy, Pascal Terrasse et Alain Tourret (PRG) marchent à ses côtés.
Au sénat, Gérard Collomb et François Patriat croient aux chances de l’impétrant. Ce dernier a rédigé une note à l’attention d’Emmanuel Macron, dans laquelle il fait état des soutiens de l’ancien ministre à la haute-assemblée, indiquait en mai La Tribune. Elle en recensait 17, répartis en trois catégories: les « confirmés », les « probables » et ceux qui sont « à tester, sans information fiable quant à leur positionnement ».
Emmanuel Macron, incarnation de la démocratie d’opinion, espère que sa popularité confortera son assise politique et lui apportera d’autres soutiens politiques. Interrogé sur BTMTV, le maire de Lyon Gérard Collomb a assuré ce mercredi que son poulain disposait du soutien d’une « cinquantaine de parlementaires de gauche » et que certains députés et sénateurs de droite allaient franchir le Rubicon dans les prochains jours.
Si peu de responsables politiques ont fait allégeance à Emmanuel Macron, l’ancien banquier bénéficie de relais importants dans les milieux économiques et intellectuels. L’homme d’affaires Henry Hermand, ancien soutien de Michel Rocard et bienfaiteur de la « deuxième gauche » est un proche de l’ancien locataire de Bercy, qu’il connaît depuis son passage à l’ENA. « Il n’a jamais pris une décision importante sans m’en parler », confie au Monde celui qui fut témoin de son mariage en 2007.
D’autres membres de la société civile, comme le directeur du think-tank Terra Nova, Thierry Pech, ou le président de la fondation Jean-Jaurès, Gilles Finchelstein, prêtent main forte à l’ambitieux démissionnaire. Enfin, Emmanuel Macron a noué des liens étroits avec Claude Bébéar, le fondateur d’AXA et Marc Simoncini, le créateur de Meetic. Le mouvement « En Marche! », qui revendique 60 000 adhérents, est par ailleurs domicilié à l’adresse de l’épouse du directeur de l’Institut Montaigne, un cercle de réflexion réputé proche du patronat et fondé par Claude Bébéar, selon Médiapart.
L’ancien ministre de l’Économie, qui a démissionné mardi, souhaite se consacrer exclusivement à ses ambitions présidentielles. Mais ses soutiens, rares dans la classe politique, se trouvent plutôt dans les milieux économiques.
Le feuilleton Matuidi se poursuit. Le milieu de terrain, qui vient de retrouver l’équipe de France en vue des deux matches, amical contre l’Italie, et qualificatif pour le Mondial-2018 contre le Belarus, est toujours un objectif pour la Juventus. Et ce bien que Nasser Al-Khelaïfi a assuré « vouloir prolonger son contrat » dans le Parisien la semaine dernière.
Selon L’Équipe, « l’envie première du joueur » est de rejoindre le Piémont. « S’il n’était pas fermé dans un premier temps à l’idée de prolonger » avec Paris, il doute d’être dans les plans de son entraîneur Unai Emery.
Mais ne pas avoir été titularisé dimanche à Monaco (3-1) « l’aurait particulièrement heurté« , avance le quotidien sportif et ne l’aurait que conforté dans le doute. Et la Juventus, qui cherche à remplacer Paul Pogba parti à Manchester United, de revenir donc à la charge.
« Le mercato est terminé« : après la sèche défaite à Monaco, le président Nasser Al-Khelaïfi pourrait-il revenir sur son affirmation du 8 août lorsqu’il a présenté la dernière recrue Jesé ‘ Ce dernier est convalescent d’une appendicite et Edinson Cavani est en panne d’efficacité devant le but. Problématique, avant la réception d’Arsenal au Parc des Princes en Ligue des champions le 13 septembre.
La presse allemande elle a en tout cas évoqué une offre mirobolante de 75 M EUR du Paris SG pour Julian Draxler (Wolfsburg). Pourtant Patrick Kluivert, le directeur du football, a bien répété à Monaco qu »il n’y aura pas de recrue, même en attaque, c’est sûr« .
Des problèmes d’attaque, Lyon en a depuis qu’Alexandre Lacazette s’est blessé à un genou et que Nabil Fekir a dû subir lundi une légère intervention sur son articulation du genou droit. Celui dont il s’était rompu les ligaments croisés il y a un an. Le Paraguayen Juan Iturbe, qui évolue à l’AS Rome est notamment suivi par l’OL, qui espère également finaliser la prolongation de Rachid Ghezzal.
Du côté de Monaco, qui s’active souvent dans le sprint final, la brève histoire d’amour avec Vagner Love est terminée, le Brésilien ayant été vendu au club turc d’Alanayaspor. Surtout, l’ASM lorgne sur Lassana Diarra. C’est La Provence qui l’affirme, expliquant que le milieu de terrain a réclamé au club turc de Galatasaray, qui le convoite, « un salaire plus conséquent, s’appuyant sur un intérêt de Monaco« .
En Turquie ou à la Turbie, l’avenir de « Lass » pourrait en tout cas devoir s’écrire loin de Marseille. Et ce malgré l’arrivée officielle depuis lundi d’un nouveau repreneur: le businessman américain Frank McCourt, ex-propriétaire du club de baseball des Los Angeles Dodgers.
Dans son sillage, le défenseur Rod Fanni, souhaité par Franck Passi, pourrait revenir. Tout comme Jordan Ayew, qui selon ESPN voudrait quitter Aston Villa (D2 anglaise) pour retrouver le club phocéen.
Enfin, reste le gros coup que tenterait de réaliser l’OGC Nice en attirant Mario Balotelli. Indésirable à Liverpool, celui qui n’a plus été appelé depuis longtemps « Super Mario » a été proposé un peu partout en Europe par ses agents. Et c’est Nice qui tient la corde, selon Nice Matin.
« Balotelli est tout proche de s’engager avec l’OGC Nice. Si les deux clubs ne sont pas encore parvenus à un accord ferme et définitif, leurs positions se sont sensiblement rapprochées ces dernières heures« , affirme le quotidien.
Chez les Aiglons, certains phoenix renaissent. Balotelli sera-t-il le nouveau Hatem Ben Arfa ‘