VIDEO. La galette des reines de Ccile
Suivez, en vido ou en pas–pas en images, la recette de la galette des rois (enfin, des reines!) de Ccile, auteur du blog Bemiam.com.
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Les troupes fidèles au président Abd Rabbo Mansour Hadi se trouvent désormais à 40 km au nord-est de Sanaa, contrôlée par les rebelles depuis plus d’un an, après des gains territoriaux significatifs dans la province de Marib, à l’est de la capitale, selon des sources militaires loyalistes.
En Suisse, au cinquième jour des négociations de paix interyéménites sous l’égide de l’ONU, les deux délégations ont convenu samedi de créer un comité « neutre » pour faire respecter la trêve, toujours en vigueur théoriquement en vigueur mais qui a volé en éclats ces derniers jours
« »Il y a un consensus autour de la création d’un comité militaire neutre chargé de surveiller le cessez-le-feu« , a indiqué à l’AFP une source proche de la délégation gouvernementale.
Mais les discussions de samedi, qui se sont tenues dans un hôtel de Bienne, se sont achevées sans grande avancée sur d’autres points de négociations, d’après des sources proches des deux délégations.
Aucun accord n’a ainsi pu être trouvé sur le cadre général des discussions de paix, sur l’ouverture de corridors humanitaires ou sur la poursuite des échanges de prisonniers.
Sur le terrain, les forces loyalistes aidées de membres de tribus font le siège d’une base militaire contrôlée par les rebelles à Nihm, à 40 km au nord-est de Sanaa, selon des sources militaires et tribales, qui ont précisé que de hautes montagnes séparaient toutefois cette base de la capitale Sanaa.
– L’ONU ‘inquiète’ –
Sur un autre front plus au nord dans la province de Jawf, dont elles avaient repris vendredi le chef-lieu Hazm, les troupes loyalistes ont reconquis deux districts, Al-Ghayl et Al-Maton, après de nouveaux combats, d’après un chef local de la « Résistance populaire« , qui rassemble des combattants progouvernementaux.
Les loyalistes, soutenus militairement par une coalition menée par l’Arabie saoudite, font maintenant mouvement vers l’ouest, vers les provinces d’Amran et de Saada, le fief des rebelles chiites Houthis.
Après la reprise vendredi par les loyalistes de deux villes du nord du Yémen, dont Hazm, et le tir par des rebelles de deux missiles vers l’Arabie saoudite, dont un est tombé dans le territoire saoudien, l’émissaire spécial de l’ONU pour le Yémen, Ismaïl Ould Cheikh Ahmedemen, s’est dit « très inquiet« .
Face aux nombreuses violations du cessez-le-feu, il a appelé « toutes les parties à respecter l’accord » et permettre un accès à tout le territoire pour les humanitaires.
Vendredi également, le président américain Barack Obama a jugé « urgent » que le cessez-le-feu soit respecté afin de permettre une « désescalade significative » du conflit.
Malgré les violations répétées de la trêve, les négociations semblaient avoir débouché sur des progrès, notamment avec l’annonce jeudi par l’ONU d’un accord sur la reprise « immédiate et complète » de l’aide humanitaire à Taëz (sud-ouest), troisième villle du Yémen assiégée par les Houthis.
Partis en juillet 2014 de Saada, leur fief dans le nord, les Houthis ont conquis de vastes territoires dont la capitale Sanaa. L’Arabie saoudite intervient depuis la fin mars pour stopper la progression des rebelles chiites qu’elle accuse d’être liés à l’Iran, son grand rival dans la région.
Depuis mars, quelque 6.000 personnes ont péri dans ce conflit, dont de nombreux civils, et plus de 27.000 ont été blessées, selon l’ONU.
Cette dévaluation-choc de la monnaie argentine, surévaluée depuis des années, survient quelques heures après la fin des restrictions sur les changes, mises en place en 2011 pour empêcher une fuite de devises.
Après de longues années d’administration de la monnaie durant les années Kirchner, la Banque centrale a décidé de laisser flotter le peso.
Alors qu’il cotait mercredi à la clôture à moins de 10 pesos, le dollar a ouvert à 15 pesos jeudi en Argentine, avant de se stabiliser à 14 pesos en fin de séance, soit une chute de 30%.
Cette mesure du gouvernement du président de centre-droit Mauricio Macri, au pouvoir depuis le 10 décembre, a été accueillie avec soulagement par les milieux économiques.
Jusqu’ici, les entreprises désirant importer et les particuliers souhaitant épargner ou voyager à l’étranger étaient limités dans l’accès aux devises.
C’était une promesse de campagne de M. Macri, qui a succédé à Cristina Kirchner, au pouvoir depuis 2007. Il a promis de « normaliser » et libéraliser l’économie, après douze années de forte intervention de l’Etat et de mesures protectionnistes.
Mercredi, le ministre du Budget et des Finances, Alfonso Prat-Gay, avait averti que cette décision, permettant le rétablissement d’un taux de change libre entre le dollar et le peso, entraînerait une dévaluation de la devise argentine, dans un pays où la hausse des prix oscille entre 20 et 35% depuis 8 ans.
– Une dévaluation « nécessaire » –
Mais cette dévaluation était « nécessaire« , souligne l’économiste Nicolas Dujovne, et « la Banque centrale ne va pas intervenir, pour montrer que le peso arrive à un équilibre et qu’une dévaluation supplémentaire ne sera pas nécessaire« .
Selon lui, « la clé du succès de la dévaluation, c’est que le peso atteigne 14 à 15 pesos pour un dollar, que le gouvernement ne fasse pas marche arrière et que l’impact sur les prix ne soit pas trop élevé« . L’inflation « devrait baisser à partir d’avril-mai« , prévoit-il.
Les Argentins semblaient partagés jeudi : pour Rosa Menendez, 50 ans, qui tient un salon de beauté, la « dévaluation profonde était annoncée et nécessaire. C’est l’héritage des mauvaises politiques des Kirchner« .
Guillermo Suarez, propriétaire d’un magasin de chaussures, était inquiet. « Ces mesures vont faire baisser la consommation et en finir avec l’industrie nationale« .
Depuis jeudi, « n’importe qui peut acheter des dollars« , a souligné le ministre du Budget.
Si aucun engouement particulier n’était notable devant les banques, les Argentins souhaitant recevoir des billets verts en échange de leurs pesos étaient déçus, les banques proposant seulement de les déposer sur un compte.
« C’est normal, avertit l’économiste Cesar Deymonnaz, les banques n’ont pas encore reçu les directives de la Banque centrale« .
Dans le centre de Buenos Aires, les vendeurs de dollars au marché noir, moins nombreux que d’habitude, continuaient de proposer un peu plus de 14 pesos pour un dollar.
Jusqu’ici, le gain sur le marché parallèle, né avec ce contrôle des changes, était d’environ 50%. La différence est désormais infime.
Dans un pays régulièrement bousculé par l’inflation, le dollar joue un rôle de monnaie refuge pour les Argentins. Le peso perdant parfois rapidement de sa valeur, les habitants préfèrent épargner en dollars.
Dans cette économie en pleine stagnation, avec un déficit budgétaire d’environ 7%, le dernier épisode de dévaluation à deux chiffres remonte à janvier 2014. Le gouvernement avait dévalué la monnaie de près de 20% en deux jours en laissant flotter le peso.
« Ce n’est pas la fin du contrôle des changes mais une brutale dévaluation qui va tripler les gains des exportateurs pendant que les salaires des travailleurs dévissent« , a dénoncé le député d’opposition Edgardo Depetri, du Front pour la victoire (FPV), la coalition de gauche au pouvoir durant les années Kirchner.
Insultes, racisme, homophobie… Vincent Morelle, ex-directeur de campagne Meaux, raconte comment le FN, parti qu’il croyait « javllis » n’en a pas fini avec ses vieux dmons. « Ecoeur », il dtaille le droul de la campagne municipale 2014 Meaux.
Par Mathilde Laurelli et Caroline Lazard, publié le
Kate Middleton, duchesse de Cambridge, portait une robe Alexander McQueen lors de la fête de Noël du centre pour enfants Anna Feud à Londres, ce mardi 15 décembre.